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| Comme je l'ai écrit dès 1999 sur mes sites
Web Internet et articles de presse, et aussi exprimé à la
radio et à la télévision: la pratique de la gématrie
n'aurait pas été si populaire sans les supports informatiques
et n'aurait pas été de ce fait visible partout dans le monde
grâce à l'Internet.
Elle est devenue célèbre à partir de cette année-là. Pour la première fois, on pouvait faire de la gématrie gratuitement en téléchargeant des programmes informatiques adaptés, à partir de mon site Internet original: http://gematrie.online.fr La gématrie dévoila son côté « jeu ésotérique » qu'elle gagna grâce à l'informatique, ce qui était impossible avant se réalisa, et c'est avec le phénomène « internet » que j'ai réussi à la sortir de son isolement. De partout sur terre on pouvait faire de la gématrie en ligne. On se prête facilement à son jeu, où les plus fervents espèrent y découvrir des choses nouvelles. Aujourd'hui on ne fait plus de gématrie autrement que derrière son ordinateur.Elle fut longtemps tenue pour oublier et sa pratique n'était réservée qu'à une élite d'initiés, en France et dans le monde. Je voulais la faire renaître de ses cendres et pour cela je savais que je détenais ce qu'il fallait pour la rendre populaire. Le principal c'est que la gématrie est devenue depuis une Star mondiale. Elle aura toujours des choses nouvelles à nous dire, tant qu'elle se maintiendra dans sa popularité. Avant que j'en parle en 1999, le peu qui la pratiquaient l'appelait: la «guématrie». On l'orthographiait ainsi en Français, dans le seul but de la lier à la pratique hébraïque, (guématriah) pour lui donner une sorte de légitimité. Il faut savoir que l'académie Française reconnaissait « de façon implicite » que cette science alpha numérale est bien de la «gématrie» orthographié ainsi en Français; je me devais donc d'utiliser ce mot et m'imposer cette dénomination, aussi à titre de reconnaissance envers les Pères de l'Église, ce sont eux qui l'ont inventé. La Gématrie a la particularité et pour principe: d'alpha numériser le langage, à l'aide de tables conçues à partir de son alphabet, pour numériser les mots, ainsi que des phrases. En édifiant ce principe on fait alors de la gématrie. La Gématrie ne s'applique pas aux langages se trouvant déjà dans un état établi d'alpha numérisation, donc d'isopséphie, sinon dans ce cas à quoi bon parler de gématrie ? Il est étonnant de savoir que le nom de César Néron fut comparé au nombre 666 au moment où les grecs se servent de l'isopséphie. Le premier à faire mention d'isopséphie est Léonidas d'Alexandrie au 1er siècle de notre ère. Plus tard Hippolyte de Rome vers 230 s'en interroge dans ses réfutations à propos des gnostiques. On aurait retrouvé des inscriptions isopsèphes
à Pergame que l'on attriburait au père d'un médecin
Galien très réputé à son époque, qui
aurait composé un message en mélant la géométrie
avec cette science des nombres, ce qui marqua la naissance de cette «
science ». Possible que ce soit à partir de cette découverte
qu'est venue l'idée que l'étymologie du mot gématrie
s'est construit depuis celui de « géométrie ».
Pascal VIEILLARD = 144 |
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